Mon pavé 2023

Un "petit" pavé, en espérant que le message puisse être vu un jour, quand bien même il y a peu de chance que celui ci le soit. 

Bonne lecture à ceux de passage. 


Vive L'empereur et vive l'EFA.

 

Bip, Bip, Bip …
Après plusieurs heures de sommeil je me réveille brusquement, le visage collé contre la vitre de mon caisson de sommeil. Je dus cligner des yeux plusieurs fois afin de m'adapter à la lumière de la chambre dans laquelle je me trouvais.  Je me frottai la tête, essayant de rassembler mes pensées. Je m’assis un moment sur le lit, essayant de me rappeler les événements des dernières semaines, tous en essayant de rassembler mes pensées et mes sens. Au soupir du filtre à air au-dessus de lit, je savais qu’il était temps de me lever
Je commençai à se lever, mais mes jambes étaient si faibles que je dû m’appuyer quelques secondes contre le mur de ma chambre pour reprendre mes esprits et éviter de tomber. Le voyage spatial avait été long et épuisant. Ce réveil brutal ne fût pas agréable et me rendait nerveux.
J'ai regardé autour de moi. Ma chambre était grande et était confortable.
Les murs étaient peints en blanc donnait une impression de propreté et de grandeur. Mon caisson de sommeil confortable, était situé contre le mur opposé à la fenêtre. À côté de mon lit se trouvait une petite table de chevet avec une lampe et un réveil. En face de mon lit se trouvait une grande armoire en bois foncé, qui abritait tous mes vêtements et mes accessoires. Enfin, dans le coin de la pièce, il y avait un grand bureau en bois clair, où je passais la plupart de mon temps à étudier et à travailler. C'était un endroit parfait pour se reposer après une longue journée de travail et pour se reconcentrer sur soi.
 
. Je me suis levé lentement et je me suis dirigé à la fenêtre. J'ai regardé dehors et ne vis que le vide de l’espace. J'étais à des millions de kilomètres de chez moi, mais je savais ce qui m'attendait. J'ai commencé à me préparer pour la journée, en prenant une douche puisa en m'habillant.
 
Voyagé dans l’espace était tout sauf silencieux. Des cliquetis des machines, aux bourdonnements d’un vaisseau, aux bruits de fond des moteurs à distorsions, tout resonnait tels des battements de cœur. C’étaient les bruits quotidiens des vaisseaux spatiaux, un bruit de fond constant.
Il y avait aussi le crépitement familier des rochers sur la coque extérieure du vaisseau. À l’intensité ce ceux-ci, je savais lesquelles étaient assez petites pour qu’on les ignore et lesquelles étaient dangereuses. C’étaient les bruits de la vie quotidienne, le bruit de fond de la vulnérabilité. Mais, pour moi, ces bruits étaient aussi ordinaires que le battement de mon cœur.
Le silence impliquait que l’air ne circulait plus, que les moteurs ne tournaient plus, que les boucliers lourds ne maintenaient aucune protection. Le silence appartenait au vide extérieur. Le silence, c’était la mort
Mis à part le son produit par le vaisseau lui-même il n'y avait rien. Il n'y avait aucun son venant des gens qui vivaient à bord, et pour cause. Mise à part moi, le vaisseau était vide.
Ce vaisseau c’était le Redoutable, une BSI, le plus grand vaisseau spatial jamais construit. C’était le plus sophistiqué de mes vaisseaux spatiaux.
Quand j’avais fait construire le Redoutable il y a des années, celui-ci avait composé un équipage de plusieurs centaines de soldats, tous étaient engagés à mes côtés.  Le bruit permanent des gens qui travaillaient, riaient, se disputaient, parlaient, me manquaient.
 
 
Cela faisait des semaines que j’avais quitté la Terre et j’avais fini par m'habituer à être seul. Le vaisseau était mon seul refuge lors de mon voyage
J’étais inquiet par cet isolement, cette vulnérabilité. C’était angoissant de savoir que j’étais seul, Cet isolement me rappelais combien la vie est fragile
Apres tous ces semaines de solitude et de dur labeur, je me rapprochais de plus en plus de ma destination. Ce voyage avait été long et monotone, mais j’avais tout ce dont il avait besoin à bord de mon vaisseau. Malgré tous, se réussissait à surmonter l'adversité. Je passais mes journées à être dans la même routine, à surveiller les instruments de bord et à effectuer des différentes réparations. Cette routine m’avait permis de garder ma santé mentale. Malgré tous, durant ce voyage, et à certains moments, j’ai tout de même eu l'impression de sombrer dans le doute. La folie. La compagnie d'autres personnes et de mes anciens amis me manquait. La finalité de ce voyage avait été essentielle pour rester sain d'esprit lors de mon voyage.
 
 
Après avoir pris mon déjeuner, je me suis installé confortablement à mon bureau je reparcours un roman (écrit par Ludsky) racontant l’histoire d’un héros s’appelant  Erwinner.
Un son particulier m’arracha de ma lecture en me décrochant une grimace. Cette alarme ne pouvait signifier qu’une seule chose. J’étais enfin sortie du vide spatial et je devais être arrivé à destination finale. 
Je sortis alors de mon bureau et pris un long couloir où des lumières bleues s'allumèrent automatiquement à mon passage.
J’avançai dans les longs couloirs pour me diriger vers la salle de contrôle du Redoutable. À intervalles réguliers, les parois étaient percées de petits hublots. Les cloisons étaient fixées par des boulons et des rivets. Je savais que chaque boulon et chaque rivet avaient été soigneusement choisis et fixés pour maintenir la structure du vaisseau, même dans les conditions les plus extrêmes de l’espace. Je poursuivis à travers une coursive. De part et d’autre se trouvaient des portes menant vers des salles de stockage, des salles sur les ETN (salle d’étude portant sur les tours noirs) ou encore des coursives manant vers les moteurs à distorsions. Je pouvais sentir le léger tremblement de la coque du vaisseau sous mes pieds quand je marchais
 
 
 
Après quelques minutes de marche j’étais enfin arrivé devant le sas de décontamination menant à la salle de contrôle principal de la BSI. Je pénétrai le petit sas, vide à l’exception d’un panneau jaune à hauteur de taille. Je retroussai ma manche pour libérer mon petit patch dermique incrusté sous la peau à l’intérieur du poignet droit. L’objet, contenait une foule de données : mon fichier d’identité, et une interface médicale permettant de communiquer avec le vaisseau. Le panneau passa au vert et la porte s’ouvrit sur la salle de contrôle.
 
Une grande salle apparut devant moi. La salle était sombre et calme.  Elle était remplie de pupitre de commande.  Chaque pupitre était repli d’écran de bouton et de manette.  Tous semblaient à sa place et en ordre comme si le vaisseau sortait tout juste de mes usines d’armement.
Les murs de la salle de contrôle étaient eux aussi remplis, de consoles, d’ordinateurs, et d'instruments complexes.
L’espace était assez grand pour accueillir une vingtaine de membres d’équipages, mais celle-ci était vide. Autrefois mon personnel s’affairait à leurs tâches habituelles. Certains étaient de simples techniciens d’autres était ingénieurs. Tous m’aider à assurer le bon fonctionnement du Redoutable, de ces systèmes d’armement et des systèmes de survie.  Autrefois cette salle était grouillante de vie
Au centre de la pièce se tenait une table circulaire autour de laquelle des chaises étaient mises en place. Cette console centrale qui était ornée d'écrans tactiles. Je me suis assis devant mon propre écran, celui du capitaine du Redoutable, et j'ai commencé à vérifier que toutes les données fonctionnaient correctement. Les systèmes de navigation, les moteurs, les communications, et le système d’atterrissage, tout était opérationnel.
Je me rapprochais d’un second moniteur affichant une image des alentours du vaisseau, et notamment d'une planète tellurique autour du qu'elle gravitait un astéroïde. Je sus de suite ce que cela signifiait.
J’étais enfin arrivé au coordonnée g11 384 01. Parti de ma planète de naissance, la Terre, j’étais enfin arrivé à proximité d’une ancienne planète que j’avais bien connue dans ma jeunesse.
 
Le voyage avait été long et solitaire, mais je savais que cela en valait la peine. J’avais des souvenirs précieux de cet endroit et je voulais les revivre une dernière fois. Durant mon trajet, j’ai passé des jours à contempler les étoiles en me remémorant les bons moments passés sur cette planète. Les bâtiments majestueux, les odeurs, le goût de la Krypto et les moments passés avec mes amis, tout cela été gravées dans ma mémoire.
 
 
 
 
 
 
 
Je me mis à chercher un moyen de reprendre le contrôle manuel du vaisseau. En effet la présence de rochers, de nuages de gaz et de débris d’anciens croiseurs empêchait tous contrôles automatiques.  Ça exigeait des manœuvres très complexes surtout à bord de mon vaisseau afin d’atterrir en douceur.
Je me suis dit que cela devait faire des années que personne n'était venu récupérer les débris à l’aide de recycleurs.
 
Après avoir repris le contrôle du vaisseau, je décidai d’entamer la phase finale d’atterrissage. La batterie de guidage s'activa et le vaisseau commença à descendre en douceur vers la surface de la planète. Au fur et à mesure que le vaisseau se rapprochait du sol, je me sentais plus à l'aise avec le vol, et plus réveillé que jamais. Apres plusieurs minutes je réussis enfin à poser le vaisseau en toute sécurité, au niveau de l’astroport
 
A traves le hublot principal de la salle de contrôle je contemplai le paysage qui s'étendait devant moi Cet endroit, c’était la capitale de la coalition EFA dont j’étais un des hauts dignitaires.
Je pris alors un Phenix pour aller rapidement au centre-ville ainsi éviter ainsi de traverser tous les entrepôts qui entourent l’astroport. A bord de ma navette je ne voyais pas un seul être vivant à des kilomètres.
 
À des kilomètres à la ronde, il n'y avait pas âme qui vive. Pas un seul être humain, ni animal, n'était visible à l'horizon. Le silence était assourdissant, rompu seulement par le bruit du vent qui soufflait à travers les herbes sèches et les arbres dénudés. Le paysage était désolé, avec des collines brunes et des rochers qui perçaient le sol. Le soleil tapait fort, faisant briller le sable et la poussière. C'était un endroit isolé et solitaire, qui semblait avoir été abandonné par le monde entier.
 
Je me dirigeais vers une petite zone industrielle non loin de là, dans laquelle un grand nombre de bâtiments étaient laissés à l'abandon et semblaient être sur le point de s'effondrer. Cette zone industrielle abandonnée était un endroit sinistre et lugubre. Les bâtiments en ruine, autrefois florissants et occupés, semblaient maintenant sur le point de s'effondrer. Des débris jonchaient le sol et le vent soufflait à travers les fenêtres brisées. Des caisses en bois étaient éparpillées un peu partout. C'était un endroit désolé qui rappelait les jours meilleurs de l'industrie locale, mais qui maintenant n'était plus qu'un lieu abandonné et oublié. Les fours des hauts-fourneaux, jadis brûlants, étaient désormais froids et silencieux. Les mines de fontes, de krypto et d'épices avaient été abandonnées depuis longtemps, laissant derrière elles des tunnels sombres. Les machines de forage, autrefois conduits par des travailleurs zélés, étaient maintenant rouillées. Les bâtiments étaient en ruine, avec des toits effondrés et des murs craquelés. Le site était un rappel poignant de l'histoire industrielle de la planète, mais aussi de l'abandon et de la désolation qui l'avait suivi. Maintenant ce n'était plus qu'un lieu abandonné et oublié.
 Les entrepôts de stockage eux aussi étaient en ruine, avec des toits effondrés et des murs craquelés. Je ralentis alors pour réfléchir à ma situation.
 
 
 
 
 
Je traversai ensuite un vaste champ de canons solaires, qui avaient autrefois défendu la planète contre les attaques ennemies. Les canons étaient maintenant inactifs et couverts de poussière, leurs batteries. Les panneaux solaires qui les alimentaient étaient fissurés et cassés, et les câbles Coupes pendaient négligemment. C'était un rappel poignant de la guerre qui avait eu lieu autrefois contre krypton mais qui avait laissé la planète dévastée et qui avait mené à la création d'un astéroïde gravitant désormais autour de la planète. Les canons solaires semblaient être les seules défenses encore debout de ce qui s'était passé.
 
 
 Après quelques minutes de voyages, j’étais enfin arrivé au centre du capital. Je suis sorti de la navette et j’ai marché dans la ville qui avait été mon chez-moi pendant de nombreuses années. Tout était différent maintenant. Et je me rendis vite compte que tous étaient éteints. Les rues étaient mortes, les bâtiments étaient délaissés. La végétation était en train de reprendre ses droits. J’étais submergé par la tristesse et la nostalgie.
En marchant dans les rues désertes, je ne pouvais m'empêcher de me remémorer les souvenirs d'une époque révolue. Les centres de développement et les Accélérateur Microsystème avec un haut niveau de développement, autrefois le symbole de la prospérité dans le domaine de la construction, étaient maintenant en ruine. La nature avait repris ses droits, envahissant les routes et les bâtiments abandonnés.
Je me suis arrêté devant l'école EFA. Les fenêtres étaient brisées et les portes étaient défoncées. Les murs étaient recouverts lierres. C'était un spectacle déchirant à voir.
C’était ici que j’avais fait mes classes et où j'avais étudié mon métier de recruteur J'étais ravi quand Xie Meng et Erwin er m’avaient proposé ce poste. Cela témoigné de leur confiance qu'ils avaient envers moi.
 
L'un des recrutements dont je suis le plus fière fut celui de Lili.
 
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles je suis fière du recrutement de Lili. Tout d'abord, elle avait une solide expérience dans la conquête spatiale, ce qui signifiait qu'elle pouvait apporter une contribution immédiate pour l'apport. De plus, elle avait une attitude positive, et un certain humour, ce qui la rendait très appréciée des autres membres de la Alliance. Enfin, elle avait une grande curiosité. J’ai de suite été convaincue qu'elle allait avoir un impact positif sur notre entreprise. Et ce fut le cas
 
 Au fur et à mesure du temps elle gravit les échelons et de devint un des hauts dignitaires d empiré HDE, L’élève a en quelque sorte dépassée le maître.
Durant toutes ces années parmi nous, Lili a su se transformer en une véritable tigresse, menaçant de son fouet tous nouvelle recrue un peu trop récalcitrante.
Je suis passé devant la place du marché, où les étals étaient autrefois pleins d’épices, de fonte ou de krypton. Maintenant, il ne restait plus que des décombres. Les étals avaient été vidés.
Malgré tout cela, je ne pouvais m'empêcher de ressentir une certaine beauté dans cette désolation. La nature avait commencé à reprendre ses droits, enveloppant les bâtiments et les routes vides dans une jungle luxuriante. Les fleurs sauvages poussaient à travers les fissures dans les trottoirs et les murs.
 
Leur beauté naturelle contrastait avec la dureté du béton et de l'asphalte qui les entouraient. Les couleurs éclatantes des fleurs attiraient le regard et semblaient apporter un peu de vie et de couleur à la ville abandonnée. C'était une belle illustration de la capacité de la nature à s'adapter et à prospérer dans des environnements les plus difficiles. Les fleurs sauvages étaient un rappel bienvenu de la beauté qui existe partout, même dans les endroits les plus inattendus. Les fleurs sauvages poussaient à travers les fissures dans les trottoirs et les murs sont un exemple parfait de cette capacité de la nature. Ces plantes ont appris à s'adapter à des conditions extrêmes. Elles ont développé des mécanismes de survie telle pour survivre dans des endroits où peu d'autres plantes pourraient survivre. Cette observation nous rappelle que la nature est incroyablement résiliente et que nous pouvons tous apprendre de sa capacité à s'adapter et à prospérer dans des situations difficiles.
 
 
Je me suis dirigé vers le lieu le plus important pour moi : la taverne de la bonne choppe. Elle était toujours là, mais elle avait subi les ravages du temps. Les murs étaient fissurés et les fenêtres étaient brisées. Je suis entré et j’ai été accueilli par le silence. Tout était comme je m’en souvenais, mais tout était différent en même temps.
Je me suis assis sur un banc et j’ai fermé les yeux. Les souvenirs ont commencé à déferler sur moi. Les rires, les odeurs de baba au rhum, de la liqueur de krypton et les histoires que nous partagions tous ensemble. C’était comme si tout cela venait de se passer hier.
Le seul endroit où je me sentais bien c’était dans cette taverne et entouré de tous mes amis. Il savait que cette planète avait été sa maison
 
 
 
Sur des murs, on peut encore deviner l’ode à la taverne, une Co-écriture Baba&Lili (la tigresse de l’empire) production tous droits réservé à l'empire ! Besoin de rien envie de boire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
A terre des papiers griffonné signer Lili disait
Papier 1
 
Papier 2
Papier 3
Papier 4
 
 
 
 
Je savais que cette planète avait été abandonnée depuis longtemps, mais je ne pouvais m'empêcher de ressentir une certaine tristesse pour ce qu'elle avait été. C'était comme si une partie de moi-même avait été laissée derrière, dans les rues vides et les bâtiments en ruine.
 
 
Pour finir cette journée, je pris la décision d’aller au Palais impérial afin de visiter le Hall d’honneur. C’était une excellente façon de terminer cette journée.
Le palais impérial était Érigés au centre de la ville. C’était un bâtiment historique et grandiose, de plusieurs centaines d’années. Le palais était érigé sur des plates-formes surélevées (臺基) et était de style chinois. Contrairement au reste de la planète, la bâtisse avait été épargnée par le ravage du temps
Le Palais impérial était le symbole important de l'histoire et de la culture de la EFA, et le Hall des Victoires était un lieu emblématique où l'empereur Xie Ming et l’Impératrice nous recevaient. Les shi, les lions gardiens des temples chinois sur terre étaient remplacés ici par des feng (鳳) allégorie de l’empereur et les huang (凰 )allégorie de l'impératrice.
Le complexe de bâtiments renfermait des espaces ouverts à l’intérieur. L’escalier principal du palais menait vers une des plateformes et permettait d’avoir une vue sur les différentes cours intérieures (院) (天井). De là, je pouvais observer en contrebas le reste de la ville.
 
Au niveau du hall d’entrée du palais, la statue d’un gigantisme phénix flamboyant accueillait les visiteurs.  La statue s’adressait alors eux pour que les visiteurs puissent en apprendre plus de l'histoire et la culture de l'Empire spatial, ainsi que sur les grandes victoires militaires qui ont permis à l’Empire de s'étendre et de prospérer.
 On pouvait également découvrir les technologies avancées utilisées par l'Empire, tel que les voyages interstellaires, les armes à rayons et les boucliers énergétiques, et des hologrammes des plus fabuleux croiseur et chasseur spatiaux.
Au fond de la pièce se trouvaient plusieurs reliques comme le fameux fouet de Lili  , un bouteille de lait de krypto   sortant de la cave de Erwinner, une représentation l’Empreur  , un exemplaire de cœur de phénix dédicacé par son auteur Ludsky et bien sur ma fameuse  ma béquille  .
Finalement, j’ai réalisé que je devais partir. Cette planète n’était plus ma maison. Mais les souvenirs que j’avais créés ici resteraient avec moi pour toujours. J’ai quitté la planète pour la dernière fois, en emportant avec moi les souvenirs.
Même si le Forum n'est plus, et que tous ces membres se sont dispersés aux 4 coins du monde, les souvenirs eux resteront en chacun de nous. Quoi qu’il arrive l'esprit de la efa sera toujours quelque part.
 
"Ardet nec consumitur"

C'est une histoire magnifique avec énormément de détails passés dont certains j'avais oublié ^^
Au moins, tu auras eu un lecteur